D’après les souvenirs de Désiré Thiéffuy
Seul prisonnier Belge du kommando, le « petit Belge » comme il était surnommé par ses camarades Français, il donne des précisions sur ce bombardement: « Les Anglais prirent ce camp pour cible à cause d’un gardien Allemand qui tirait en direction des avions Anglais. Ceux-ci larguèrent leurs bombes sur ce mirador ce qui provoqua l’incendie du dernier compartiment de l’abri. Les 257 Français morts asphyxiés furent déposés sur le terrain de football, puis enterrés au cimetière de Vaïhingen, ainsi que 1800 Russes tués par les bombardements car n’ayant pas d’abris, leur camp avait été rasé par les bombes. Ironie du sort, seule était restée debout et arrêtée à deux heures moins le quart la pendule au milieu du camp ». Malgré le feu de l’abri Désiré Thiéffuy réussit à tirer dehors et à sauver 12 prisonniers inanimés intoxiqués par la fumée.
Seul prisonnier Belge du kommando, le « petit Belge » comme il était surnommé par ses camarades Français, il donne des précisions sur ce bombardement: « Les Anglais prirent ce camp pour cible à cause d’un gardien Allemand qui tirait en direction des avions Anglais. Ceux-ci larguèrent leurs bombes sur ce mirador ce qui provoqua l’incendie du dernier compartiment de l’abri. Les 257 Français morts asphyxiés furent déposés sur le terrain de football, puis enterrés au cimetière de Vaïhingen, ainsi que 1800 Russes tués par les bombardements car n’ayant pas d’abris, leur camp avait été rasé par les bombes. Ironie du sort, seule était restée debout et arrêtée à deux heures moins le quart la pendule au milieu du camp ». Malgré le feu de l’abri Désiré Thiéffuy réussit à tirer dehors et à sauver 12 prisonniers inanimés intoxiqués par la fumée.
According to the memories of Désiré Thiéffuy
The only Belgian prisoner of the
kommando, the "little Belgian" as he was nicknamed by his French
comrades, he gave details of this bombardment: "The English targeted this camp because of a German guard who was
firing at the English planes. They dropped their bombs on this watchtower,
which caused the last compartment of the shelter to burn. The 257 French people
who died of asphyxiation were placed on the football field and buried in
Vaihingen cemetery, as well as 1800 Russians killed by the bombardments because
they had no shelter and their camp had been razed to the ground by bombs.
Ironically, only she had remained standing and stopped at a quarter to two
o'clock in the middle of the camp”. Despite the fire at the Désiré Thiéffuy
shelter, he managed to shoot outside and save 12 inanimate prisoners poisoned
by smoke.
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